Dieu n’a pas retenu à soi le bien-aimé, il l’a donné et a ainsi compris le monde lui-même dans son amour. En aimant Jésus jusqu’à la croix, il a aimé l’humanité comme son Fils et l’a introduite dans son mystère, pour que, demeurant dans son amour, elle poursuive son oeuvre1Yves-Jean Harder, « Amour », dans Jean-Yves Lacoste (éd), Dictionnaire critique de théologie, Paris, PUF, 1998, p. 36..
– Yves-Jean Harder –
Références
↑1 | Yves-Jean Harder, « Amour », dans Jean-Yves Lacoste (éd), Dictionnaire critique de théologie, Paris, PUF, 1998, p. 36. |
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