Pour moi, il y avait une barrière mentale entre la religion et Dieu. Je pouvais très bien me placer sur un terrain religieux et ne jamais, en termes d’émotions, comprendre que Dieu est une personne, un être réel avec des pensées, des sentiments et tout ce qui va avec. Pour moi, Dieu était plus quelque chose de l’ordre de l’idée. C’était un peu comme une machine à sous, une rangée d’images tournantes d’où sortaient des récompenses sur la base de mes mérites et, peut-être, de…