Si l’on en croit un charmant récit de l’Écriture, auprès du berceau du Christ se succédèrent des bergers et des savants qu’en ce temps-là, on appelait des mages. À ce Dieu devant qui ils s’agenouillèrent, ils avaient été conduits, les uns par des anges proches de leur propre coeur, les autres, par la science, mais une science que n’animait pas uniquement l’espérance de savoir.
-Fernand Dumont-
(Une foi partagée, p.14)
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