Dans son article intitulé “Coherence and Relevance of 1 Cor 8-10″1Joël Delobel, “Coherence and Relevance of 1 Cor 8-10”, dans The Corinthian Correspondence, Reimund Bieringer (éd.), Leuven, Leuven University Press, 1996, p. 177-190., Joël Delobel considère que 1 Co 8,6b2La clause sur Jésus : “Mais pour nous, il y a un seul Dieu, le Père, de qui viennent toutes choses et vers qui nous [allons] et un seul Seigneur, Jésus Christ, par qui sont toutes choses et par qui nous [allons à Dieu au Père]….

Selon les Écritures, notre propre conscience morale nous accuse lorsque la loi de Dieu est violée. Mais à partir de ce moment, le diable prend particulièrement plaisir à multiplier les accusations pour faire de la culpabilité un climat insupportable. Il s’avère donc cruciale de discerner d’où provient le sentiment de culpabilité, de l’écouter et le traiter s’il provient de la bonne place et, au contraire, de le taire s’il a été réglé en Jésus ! Il y a deux sources menant à deux fins : “En effet, la tristesse selon Dieu produit une repentance…

Le dilemme d’Euthyphron est souvent perçu comme une vieille réfutation au fait de voir Dieu comme le fondement ultime de notre connaissance du bien et du mal. Dans les cours de philosophie, il n’est pas rare de voir ce dilemme être cité pour rétorquer à l’argument moral pour l’existence de Dieu : Si Dieu n’existe pas, alors la moralité objective n’existe pas. La moralité objective existe. Donc Dieu existe1William Lane Craig. 2008. Reasonnable Faith : Christian Faith and Apologetics. Wheaton: Crossway, p.172. Le dilemme d’Euthyphron, qui nous est rapporté par…