Doubting de Alister McGrath : 7.5/10   Divorce and Remarriage in the Church de David Instone-Brewer : 9/10   How God became Jesus édité par Michael F. Bird : 8/10   The Son Rises de William Lane Craig : 9/10   The Virginal Conception & Bodily Resurrection of Jesus de Raymond E. Brown : 7/10   Du bonheur : un voyage philosophique de Frédéric Lenoir : 7.5/10   Ni homme ni femme de Michel Gourgues : 8.5/10   Proper Confidence de Lesslie Newbigin : 8/10   Studying the Historical Jesus  de Darrell L. Bock : 8.5/10   Je vois Satan tomber comme…

J’ai récemment eu une discussion avec un athée où nous avons parlé de l’argument moral pour l’existence de Dieu : 1 – Si Dieu n’existe pas, alors la moralité objective n’existe pas. 2 – La moralité objective existe. 3 – Donc Dieu existe. La première prémisse affirme que seulement Dieu peut servir de fondement métaphysique1Qui ou quoi détermine le bien et le mal? à la notion de bien et donc de mal (le mal étant une privation du bien)2L’injustice est la privation de justice, l’infidélité, la privation de fidélité, l’ingratitude,…

Et si nos intuitions fondamentales sur le plan moral et existentiel représentaient une évidence pour l’existence de Dieu ? Je suis en train de lire le Livre de la Sagesse, un vieil écrit juif datant autour de l’an 50 av. J.-C. (livre non biblique écrit par un Juif d’Alexandrie en Égypte). L’auteur est très éloquent concernant le fait que si Dieu n’existe pas et que la mort est la réalité ultime, faire le bien n’a aucune valeur réelle, car tout sera oublié ultimement de toute façon, tout sera effacé comme si…

J’aime déguster des bonnes bières de microbrasserie aux goûts variés et infinis. La plupart du temps, je garde la bouteille et je l’ajoute à une collection que j’ai fusionnée avec mes bibliothèques. Généralement, avant d’acheter une nouvelle bière, je vais l’analyser pour sélectionner quelque chose allant dans un certain sens. Mais quand j’ai vu cette bière du brasseur RJ de Montréal, même si elle était au pamplemousse et à l’orange, je me suis dit que je l’achèterais, ne serait-ce que pour la mettre dans ma galerie d’art à cause du branding…

Si l’on en croit un charmant récit de l’Écriture, auprès du berceau du Christ se succédèrent des bergers et des savants qu’en ce temps-là, on appelait des mages. À ce Dieu devant qui ils s’agenouillèrent, ils avaient été conduits, les uns par des anges proches de leur propre coeur, les autres, par la science, mais une science que n’animait pas uniquement l’espérance de savoir. -Fernand Dumont- (Une foi partagée, p.14)