Ce n’est pas le critique qui compte, ni celui qui fait remarquer comment l’homme fort a trébuché, ou dans quel domaine le ‘faiseurs d’exploits’ aurait fait mieux. Le crédit revient à l’homme qui est en fait dans l’arène ; dont le visage est maculé par la poussière, la sueur et le sang ; qui connait les grands enthousiasmes, les profonds attachements et se dépense pour une cause noble ; qui, dans le meilleur des cas, finit par connaître la victoire pour un haut fait et qui, au pire, s’il échoue, échoue au moins en faisant preuve d’une grande audace, de telle manière qu’il ne figurera jamais parmi ces âmes froides et timides qui ne connaissent ni victoires, ni défaites.

-Théodore Roosevelt-
(Cité par John Maxwell, 2002, Les 21 lois irréfutables du leadership (1998), p.29)